Mon mari est un adorable Maître, prévenant, prudent et sa perversité est souvent délicieuse.

Le problème est qu’il est débordé par son travail et rentre souvent tard. Le deuxième problème est que quand on a goûté au bondage et au BDSM, je suis un peu en manque de soumission. Nous n’avons pas de souci d’argent, entre son travail et mon héritage, nous pouvons nous faire plaisir. A cela se rajoute que je dispose de beaucoup de temps libre, ce qui justement me permet de m’amuser seule. Autant dire que la masturbation est devenu un de mes sports favoris.

Sur Fessestivites où l’on s’est rencontrés il y a maintenant 7 ans, il y a souvent des tutoriels, des histoires et vidéos de selfbondage. Cela m’a donc donné des idées pour me faire plaisir toute seule.

Mon plus grand plaisir est de jouer en prenant le risque d’être surprise. La honte délicieuse d’une femme en détresse, risquant d’être punie ou de servir de soumise sexuelle m’excite follement. A cela se rajoute que secrètement, j’essaye de le provoquer pour qu’il s’occupe de moi.

Je vous raconte mon dernier délire de soumise coquine !

Je m’étais maquillée, coiffée, j’avais mis un joli ensemble très sensuel avec un porte jarretelles puis mes bottes dont le talon vertigineux me fait un très beau cul. Pour compléter ma tenue, mon collier de soumise, que j’avais relié à un crochet anal de bondage par une petite corde. Entre les bottes et le crochet de bondage, autant dire que ma cambrure offrait mon postérieur délicieusement souligné par un string noir en dentelle.

Pour mon selfbondage, l’idée était d’être ultra exposée et excitante si j’étais piégée. J’ai donc fait descendre une corde de la rampe des escaliers et au bout, j’y ai fixé les menottes est la serrure de selbondage BDSM d’une durée d’un heure. Ce truc que j’ai trouvé sur ABCplaisir est génial, on peut gérer la durée sans aucun danger. Normalement, cette serrure de selfbondage me permettait, d’après mes calculs, de jouir plusieurs fois et de me libérer avant qu’il arrive.

Pour avoir un peu de douleurs excitantes, des pinces à sein dépassaient de mon soutien-gorge. Ensuite, pour parfaire ma soumission, un bâillon bouche ouverte complétait ma tenue.

Pour le plaisir, ce qui est quand même le plus important, le maintient Magic Wand Massager assurerait sans souci la tenue du magic wand sur mon clitoris. Tant qu’à me faire plaisir, j’ai pris le gros, celui indiqué puissance 10...

Lorsque j’ai fermé les menottes, entre la préparation et le magic qui avait commencé son office, j’étais déjà très excitée. Je me prenais donc une heure de plaisir avant de me lancer dans la cuisine pour que mon chéri puisse dîner et se reposer de ses dures journées de travail. Cela faisait trois fois que je m’envolais en imaginant qu’il me découvrait et s’occupait de moi.

Quand j’ai entendu sa voiture arriver, j’étais à la fois ravie et inquiète car je sais qu’il n’aime pas trop que je m’attache seule. Il trouve cela dangereux. Quelle allait être sa réaction ?

Pas un mot ! Il n’a pas dit un mot en me voyant mais il a fait bien pire ! Il a simplement accroché son sac à mes pinces à sein. La douleur n’a plus été agréable du tout ! Et après ça ?

Après ça, il est allé au donjon chercher un Martinet BDSM et fessée qu’on appelle pas « le Traître » pour rien, puis de quoi mieux fixer mes menottes afin que je ne puisse me libérer même si la serrure de selfbondage le permettait. A son retour, il a coupé le magic wand massager qu’il a retiré ainsi que l’espèce de ceinture qui le maintenait en bonne place.

• Tu sais que je n’aime pas quand tu t’attaches toute seule ! Nous allons compter, ou plutôt, je vais compter les syllabes avec les espaces et le point.

Je sais maintenant que cette phrase contient 59 caractères puisque j’ai reçu 59 coups de ce putain de martinet en mode punitif. C’était comme si mes fesses et le haut de me cuisses prenaient feu et comme il comptait à haute et intelligible voix pour que je n’entre pas dans ma bulle de maso, je n’en ai tiré aucun plaisir.

Et après ça ?

Et après ça, vous pourriez imaginer qu’il m’a consolée et fait la morale. Et bien non ! Il m’a planté là pour aller se servir un verre, il a allumé la télévision puis s’est installé dans le canapé. Au lieu de s’occuper de sa soumise, il a regardé un match de foot sur Canal ! Autant dire que j’ai trouvé le temps long !

Quatre-vingt-dix minutes plus tard, il est sorti de la maison sans rien me dire. A son retour, il avait dans les mains une ceinture de chasteté. Le string baissé et le porte jarretelle retiré, mon Maître m’a posée la ceinture. Il a un peu galéré pour faire les réglages de ce qu’il a appelé, « une surprise ». Cela lui a pris au moins trente minutes que j’ai trouvées fort longues.

• Maintenant, je vais te libérer et, comme le devant de ton string est trempé, je subodore que tu as joui. Tu peux donc me donner un peu de plaisir sans que j’ai besoin de m’occuper de toi !

C’est donc avec ma ceinture de chasteté et, toujours en place, le crochet anal de bondage relié à mon collier, que j’ai du, à quatre pattes devant le canapé, lui tailler une bonne pipe. Son jeu de pervers a été de faire bouger ma tête pour que chaque mouvement se répercute dans mes fesses. Au bout d’un moment, j’ai commencé à trouver cela agréable, sauf que Monsieur a bloqué ma tête pour jouir dans ma bouche en m’ordonnant d’avaler. Il sait que je n’aime pas et, si en tant que soumise je n’ai pas le choix, présentement, il ne risquait pas de faire un effort pour m’être agréable.

La soirée a été difficile. J’ai du tout garder sur moi et en moi y compris la nuit. Il me semblait réellement en colère, je n’ai pas osé me révolter. Ce n’est que le lendemain que j’ai compris qu’il s’était amusé et avait joué le jeu pour me faire plaisir.

Sur la table de la cuisine j’ai trouvé ce mot :

« Mon amour, c’était vraiment très amusant hier soir, surtout de te sentir perturbée et bien soumise. Tu trouveras toutes les clés pour te libérer au fond de la piscine. je les ai attachées à un gros poids en métal. Un peu de natation te fera du bien. Je t’aime ».

L’enfoiré ! Il avait coupé le chauffage de l’eau de la piscine et allait m’obliger à nager avec le crochet dans les fesses et dans l’eau à 20 degrés. En plus, j’avais peur de pertes anales car, déjà que pour mon pipi j’en avais mis partout, cela poussait dur « derrière ». Rien que pour l’embêter, j’ai plongé sans réfléchir pour aller chercher les clés pour le libérer. Par chance, mes fesses sont restées bien serrées mais elles m’ont rappelées que j’avais été punie la veille. C’était comme si les marques laissées par le martinet reprenaient vie et me punissaient une deuxième fois !

Et après ça ?

Après ça, j’ai foncé aux toilettes pardi, pour me libérer de la ceinture et du crochet avant de ... ! L’idée de remettre la ceinture de chasteté ne me déplaît pas, surtout si j’arrive à coincer des choses dans mes orifices lors d’une prochaine séance de selfbondage. Mais ça, il ne faut pas le dire à mon Maître !

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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